campagne de gravillonnage

robotriri a écrit:

LegioVII a écrit:Gravilloner les routes devrait être interdit.



 

Ta tout compris, je dirais même que le mieux est d’interdit les véhicules sur les routes comme cela elles ne se dégraderaient pas et donc plus d'entretien.

Faute juste arrêter de raconter des conneries, sans les enduits d'usures qui sont refait tout les 10 ans (normalement) les routes seraient des patinoires, gravillons usées, plaques de ressuages qui sont des vrais casse gueule, et j'en passe.

Ou je suis d'accord, et pas qu'un peu, cela est pénible de devoir rouler sur une route fraîchement gravillonné en la saison, mais en hiver l’adhérence est toute autre et même excellente grasse à ses campagnes d'entretien.

Complétement d'accord avec toi Richard d'autant plus que tu connais bien le sujet, mais sauf raison technique qui m'échappe, il est anormal de ne pas passer une balayeuse pour limiter les problèmes.

Paul30 a écrit:Le souci vient surtout  du fait que le gravier en surplus n'est pas évacué par une balayeuse et ce surplus est souvent en pleine trajectoire des deux roues.

Désolé Paul, je n'avais pas vu ton intervention qui fait écho avec la mienne 

Paul30 a écrit:Le souci vient surtout  du fait que le gravier en surplus n'est pas évacué par une balayeuse et ce surplus est souvent en pleine trajectoire des deux roues.

Oui ces voulu, le but est d'avoir de l’excèdent pour ne pas créée des endroits mal gravillonné, puis le temps de saturation des bitumes est plus ou moins long, donc sans excèdent les bitumes coulerais par pression des roues.

Puis ou je suis d'accord, se sont les véhicules qui finalise les enduits et adhérence des gravillons grâce à leur pneus et pression exercé.

Je suis utilisateur deux roues, et comme vous je peste contre cela, mais cela dure 3 semaines avant balayage et ensuite la route est bien meilleur.

Il suffit de voir les vitesses qui augmente sur des routes fraîchement refaite, les personnes ce sente plus en sécurité. Alors les 3 semaines de galères valent mieux que faire réduire la vitesse pour raison (financière) de sécurité.

Pour moi,c’est pas le risque de se virait sur le gravillon,tu roule moins vite,l’histoire est réglée,c’est sur tout qu’un de ces putains de gravillons,rentre entre la courroie et la poulie qui m’inquiété,la tu a gagné  Une courroie neuve

robotriri a écrit:

Paul30 a écrit:Le souci vient surtout  du fait que le gravier en surplus n'est pas évacué par une balayeuse et ce surplus est souvent en pleine trajectoire des deux roues.

Oui ces voulu, le but est d'avoir de l’excèdent pour ne pas créée des endroits mal gravillonné, puis le temps de saturation des bitumes est plus ou moins long, donc sans excèdent les bitumes coulerais par pression des roues.

Puis ou je suis d'accord, se sont les véhicules qui finalise les enduits et adhérence des gravillons grâce à leur pneus et pression exercé.

Je suis utilisateur deux roues, et comme vous je peste contre cela, mais cela dure 3 semaines avant balayage et ensuite la route est bien meilleur.

Il suffit de voir les vitesses qui augmente sur des routes fraîchement refaite, les personnes ce sente plus en sécurité. Alors les 3 semaines de galères valent mieux que faire réduire la vitesse pour raison (financière) de sécurité.

  Merci pour tes explications,mais cela ne m'empêchera pas de râler au prochain gravillonage rencontré

Le principe, pour ce que j'en connait, c'est quand même que se soient les voitures qui "stabilisent" le gravier en l'enfonçant dans la chaussée. Alors la balayeuse, elle intervient normalement, mais quelques semaines après l'épandage pour virer le surplus restant.
Du moins, c'est ce que je constate par chez moi.

Bon, ça reste quand même vachement stressant à rouler ! 

Paul30 a écrit:

robotriri a écrit:

Paul30 a écrit:Le souci vient surtout  du fait que le gravier en surplus n'est pas évacué par une balayeuse et ce surplus est souvent en pleine trajectoire des deux roues.

Oui ces voulu, le but est d'avoir de l’excèdent pour ne pas créée des endroits mal gravillonné, puis le temps de saturation des bitumes est plus ou moins long, donc sans excèdent les bitumes coulerais par pression des roues.

Puis ou je suis d'accord, se sont les véhicules qui finalise les enduits et adhérence des gravillons grâce à leur pneus et pression exercé.

Je suis utilisateur deux roues, et comme vous je peste contre cela, mais cela dure 3 semaines avant balayage et ensuite la route est bien meilleur.

Il suffit de voir les vitesses qui augmente sur des routes fraîchement refaite, les personnes ce sente plus en sécurité. Alors les 3 semaines de galères valent mieux que faire réduire la vitesse pour raison (financière) de sécurité.

  Merci pour tes explications,mais cela ne m'empêchera pas de râler au prochain gravillonage rencontré

Je vous rassure je suis aussi le premier à râler lorsqu'il y a du gravillons partout. 

quand le chemin est gras, veillons !

Nordkapp a écrit:Le principe, pour ce que j'en connait, c'est quand même que se soient les voitures qui "stabilisent" le gravier en l'enfonçant dans la chaussée. Alors la balayeuse, elle intervient normalement, mais quelques semaines après l'épandage pour virer le surplus restant.
Du moins, c'est ce que je constate par chez moi.

Bon, ça reste quand même vachement stressant à rouler ! 

Tu complètement raison. 2 à 3 semaines avant balayeuses.

Chez nous, la balayeuse , c'est jamais .

louloupa a écrit:Chez nous, la balayeuse , c'est jamais .

Politique départementale. Bizarre.

orval22 a écrit:

AMIRAL44 a écrit:Tiens c'est d'actualité


T'aurais pu prendre cette option sur ta nouvelle

Ouaip, mais chez moi; le gaz , il sort par un autre orifice !!

Tu y'as pensé avant moi...tu fais chier hein...

Panther a écrit:Mais comment vous faites ?  c'est extrêmement rare en Gelbique, ces trucs ...
Ici on gratte et on tarmaque épicétou

Bon, ça tient pas forcément longtemps car ce sont des sagouins qui le font mais bon ... y a jamais des champs de graviers comme chez vous

ah non surtout pas chez nous , ça coute trop cher .
on gravillone et on laisse les utilisateurs passer , ça balaye la route et en même temps on nique tout

.
Chez nous aussi, ils récupèrent l'excédent de gravillon, c'est aussi une question de prix, plutôt que de laisser ce gravillon se barrer au fossé, ils le re-stock.

Il y a quelques semaines, j'ai fait une jolie glissade sur des gravillons probablement tombés d'un camion dans un virage de bretelle d'accès sur une 4 voies!!! Je ne me suis pas étalé, et je me demande encore pourquoi... J'ai mangé 2 plots de séparation en plastique blanc entre la bretelle d'accès et le voie de droite, et - CHANCE - les voitures m'ont évité! un copain qui me suivait, a crû voir ma dernière heure arriver... et moi aussi!


Un petit arrêt immédiatement après a été nécessaire afin de faire passer la sensation de jambes "en coton"...

Nous sur Toulouse c'est du caillassage plus que du gravillonnage mais uniquement dans certaines banlieues bien connues ... suffit de pas y aller!

MIKE 31 a écrit:Nous sur Toulouse c'est du caillassage plus que du gravillonnage mais uniquement dans certaines banlieues bien connues ... suffit de pas y aller!  

Le genre de banlieue ou les plumes et le goudron devrait faire un retour.

MIKE 31 a écrit:Nous sur Toulouse c'est du caillassage plus que du gravillonnage mais uniquement dans certaines banlieues bien connues ... suffit de pas y aller!  

Là il faudrait y passer plus qu'une balayeuse 

Pat31 a écrit:Là il faudrait y passer plus qu'une balayeuse 

Sarko y aurait dit "un Kärcher !"

Rhôôô ...